Manquement à la règle

Salut !

Bon, aujourd’hui, je vais tomber dans ce contre quoi je me « bat » depuis le début de ce blog, à savoir le racontage du « moi », de sa vie et tout ça parce que tout le monde s’en fout. Mais bon, la personne dont je vais parler devrais lire ça, en prendre compte ou pas. C’est peut-être un peu bête mais bon, je préfère le faire tant que c’est chaud.

J’ai écrit tout ceci il y a environ un mois. J’ai longtemps hésité à publier et je le regretterais mais bon, c’est mon seul moyen.

C’est basé sur une fausse idée de ma part, je me suis trompé. Tout est donc « normal » aujourd’hui.

Voilà, en ce moment, comme depuis le début de mon « adolescence », je suis un peu dépressif. Pas genre le mec qui doit prendre des médocs et tout mais juste que assez souvent, malheureusement, je me retire, me renferme sur moi-même à des anniversaires ou autres fêtes dont je devrais profiter. Récemment, j’ai appris qu’une personne se faisait du soucis pour moi par rapport à ça, ce qui m’a, je l’avoue, surpris. Cette personne m’a aussi aidé à coucher ce qui suit.

Je connaît une fille depuis, allez, 3 ans. On la nommera Natasha (ce qui est vraiment très éloigné de son vrai nom). Là, je me dit que je vais raconter sa vie mais elle pourrait mal le prendre donc j’en raconterais le minimum sur elle pour me concentrer sur le vrai problème. Les lieux, les gens (à part elle et moi) ne seront peu ou pas cités ou alors très éloignés de la réalité. Cette Natasha est vraiment une fille pas comme les autre : intelligente, mature, jolie, pas comme les autres quoi (je suis sur que vous voyez pas encore le rapprochement mais ça va venir). Cette fille ne pense pas comme les autres, elle est plus en arrière, réfléchie (je m’exprime vraiment très mal mais je pense que ça n’influencera pas le contenu de l’histoire). Par certains points, on se ressemble, ce qui tend à nous faire dire les choses pour l’un et l’autre dans nos discussions alors qu’en fait, ces points sont bien moins nombreux qu’on ne le pense, ce qui tend à me faire faire des illusions.

En ce moment (on arrive au gros problème, enfin, le début), presque toutes mes conversations avec des filles que je trouve attirantes se finissent de la même façon : on parle de choses (ça dépend du niveau de connaissance réciproque), de tout, de rien ou alors elle ne répond pas. Enfin, tout ça pour dire qu’à la fin, soit il est tard, soit j’en a marre (malgré une certaine envie de continuer, ce qui est paradoxal) et je commence à divaguer, à parler à des filles que je connais à peine comme si c’était mon meilleur pote. Donc je m’en rend compte et là je sort mon fameux : « Bon, je dois te faire pitié/t’emmerder. J’arrête, à bientôt ! » En gros, je trouve une « excuse » (toujours la même), pour partir Je fui devant les difficultés, toutes les difficultés. Mais Natasha (qui, à mon avis, contrairement aux autres) ne se sent pas ennuyée par moi, malgré que quelques fois, elle m’ignore mais apparemment, je ne l’embête pas. Donc ça la « met en colère » mais en général, ça ne dure pas plus de quelques heures, jours à la rigueur. Cette fois, je pense que c’est parti pour être plus long.

La situation qui à changée est que, comme tout les élèves de troisième de France, nous avons un stage à faire. Pour une raison quelconque, le mien ne se déroule pas au même moment que les autres. J’ai donc une semaine de libre. Enfin, pas vraiment puisque mes amis sont « …indisponibles pour le moment, veuillez laisser… ». Un après-midi, alors que l’ennui se montrait grandissant et plus très enrichissant, j’ai décidé d’aller à la Médiathèque, grande bibliothèque multimédia sur 3 étages. Et devinez qui y fait son stage, dans cette médiathèque ? Et oui, vous avez raison, c’est bien Natasha.

Je m’arrête ici, le problème est donc fini mais il m’a permit de réaliser certaines choses…

A bientôt avec des choses moins longues et compliqués !